SURF

Ce Mardi 12 Octobre, j’ai été invitée par la marque française JHO à l’occasion de l’ouverture de leur pop up store dans le Marais. J’ai eu la chance d’y rencontrer la jolie surfeuse pro Johanne Defay, 4ème meilleure surfeuse mondiale, et ambassadrice JHO.

Nous avons échangé pendant plus d’une heure sur sa vie de sportive à haut niveau, la place de la femme dans le surf mais également sur le sujet des règles dans le monde du sport. Une discussion très enrichissante que je ne pouvais pas ne pas vous partager ici! 

Née en 2017, JHO est une marque française de protections périodiques respectueuse de l’environemment en coton bio certifiés. Elle propose des serviettes, tampons et également des culottes de règles tout douces et 100% bio !

Tout est parti d’un scandale, qui a fait réaliser que les protections hygiéniques sont des produits de première nécessité, pour toutes les filles et les femmes. Que chacune devrait pouvoir y avoir accès, quels que soient ses moyens. Et que ces produits, en contact avec la partie la plus perméable et fragile de notre corps, doivent être irréprochables.

JHO c’est aussi une marque engagée qui reverse 1,7% de son chiffre d’affaires à des femmes dans des situations de grande précarité, à travers 5 associations. En trois ans, elle a déjà reversé presque 100 000 Euros, ce qui est énorme pour une petite marque.

Vous pouvez retrouver leurs produits dans des points de vente Monoprix ou directement sur leur eshop : https://www.jho.fr

Johanne Defay, on ne la présente plus. Son ascension depuis ses débuts dans le milieu du surf, à 7 ans, dans son île de la Réunion est impressionnante. Plus jeune championne d’Europe de l’histoire à seulement 15 ans, elle est aujourd’hui la meilleure surfeuse française et 4ème surfeuse mondiale !

Je la suis depuis toujours lors des compétitions WSL, alors quand j’ai appris qu’elle serait présente lors de cet événement JHO, j’étais toute excitée à l’idée de la rencontrer. Et je n’ai pas été déçue, dès que je suis arrivée je suis allée à sa rencontre la saluer et nous voilà embarquées dans une discussion passionnante. Johanne est une fille accessible, naturelle, simple avec les pieds sur terre dotée d’une belle énergie solaire. Nous avons pu échanger sur divers sujets dont je vous en dévoile ici quelques lignes.

Quand Johanne n’est pas dans les avions pour sillonner le monde afin de participer aux différentes compétitions, elle suit une préparation physique de haut niveau en compagnie de son coach mais aussi amoureux dans la real life.

Le reste du temps, elle passe son temps entre son île natale la Réunion et les Landes. Sa préparation physique comprend du cardio (vélo, course à pieds) mais aussi du fitness (musculation, crossfit), ainsi que du yoga. Johanne aussi fait attention à son alimentation en mangeant équilibrée mais elle n’oublie pas de faire des petits plaisirs de temps en temps !

Un sujet qui me tient à cœur, j’étais vraiment curieuse d’avoir son ressenti face à la place de la femme dans les compétitions à haut niveau. Il se trouve qu’il y a globalement une bonne ambiance sur le tour avec tout le monde. Tout le monde est très sympa que cela soit chez les garçons ou chez les filles. Après comme partout il y a des affinités qui se créent, Johanne est très copine avec Carissa Moore et d’autres championnes. Elles se soutiennent mutuellement ! Girl power 🙂

Les règles ont longtemps été un sujet tabou dans la vie privée comme dans le sport de haut niveau. Or il ne faut pas oublier que la femme est cyclique, et traverse plusieurs phases dont une période ovulatoire, prémenstruelle, menstruelle et post-menstruelle.

Lors de la phase prémenstruelle, comme la plupart des femmes, Johanne peut se sentir plus fatiguée alors elle n’hésite pas à adapter son planning de préparation physique avec plus de temps de récupération, et d’étirements.

Johanne a décidé s’écouter davantage , d’être plus attentive à sa féminité et aux cycles de son corps, au quotidien et pendant les compétitions. Voir même d’en faire une force. En effet, elle m’a partagé comme exemple l’équipe de football féminine Américaine qui a « un coach menstruel » qui suit chaque joueuse afin de tirer bénéfices de chaque phase. Les Américains ont tout compris !

Alors qu’elle est numéro 4 au rang mondial du QS, Johanne reste une fille simple, rayonnante et naturelle. Je suis bluffée par sa personnalité engagée, douce et bienveillante. Nous avons abordé des sujets plus persos où elle a su être à l’écoute et dans le partage. Bref, c’est une fille en or !

Alors merci Johanne pour ce doux moment de partage avec toi et je ne manquerai pas de suivre tes prouesses lors de la première étape du tour en Janvier 2022 à Pipeline :p

Avant de foncer tête baissée dans les rouleaux, tu dois te préparer en amont afin d’éviter les mauvaises surprises lors de ta session. En effet, le surf est un sport extrême qui nécessite de se poser les bonnes questions, et d’avoir les connaissances de base sur le milieu changeant dans lequel tu évolues : l’océan.

Chaque spot de surf est différent, plusieurs caractéristiques rentrent en jeu :

• Le fond (sable, rochers, corail)

Si le fond est tranchant et que tu as les pieds fragiles, il te faudra mettre des chaussons pour les protéger.

• Le type de break (beach, reef ou point break)

Le type de break est directement lié au type de fond du spot, voir mon article sur comprendre les spécificités d’un spot de surf.

• Le type de vagues (gauche, droite, A frame ou close out)

Gauche: vague qui déferle du côté gauche
Droite: vague qui déferle du côté droit
A frame: vague avec deux épaules, une à droite et l’autre à gauche. L’avantage ici est que deux surfeurs peuvent se positionner sur la vague. Pour les novices, l’épaule d’une vague est la partie de la vague qui est sur le point de déferler.
Close out: vague qui se ferme partout en même temps et donc pas surfable

• Les différents courants et baïnes

Avant de rentrer dans l’eau, pose-toi sur la plage et prends le temps d’observer les surfeurs dans l’eau pour comprendre les courants. Autrement tu peux également te renseigner auprès des nageurs sauveteurs au poste de secours, ou demander tout simplement à un surfeur local.

Si tu es pris dans une baïne, surtout n’essaies pas de revenir à la plage, laisse toi porter par le courant, reste sur ta planche et agite tes bras pour alerter les secours.

• Les marées

Certains spot fonctionnement plutôt à marée basse et d’autres à marée montante. Renseigne toi en amont, cela évitera les déceptions au moment d’arriver sur le plage.

• L’orientation géographique du spot (sud, ouest, est ou nord)

Il est important de se renseigner en amont sur l’orientation du spot pour comprendre s’il peut capter la houle ou pas.

• L’accessibilité

Certains spots sont facile d’accès avec un parking à disposition et seulement quelques mètres de marche. Tandis que pour d’autres, il faudra souffrir avant d’atteindre le graal avec quelques kms de marche dans la nature voir même parfois des rochers à escalader.

• La fréquentation

Beaucoup de spots sont victimes de leurs succès en période estivale et prendre une vague revient à partir en croisade. À toi de connaître tes préférences, parfois c’est mieux une session sur un spot qui marche moins bien mais avec une dizaine de personnes à l’eau!

Avant de d’enfourcher ton vélo, ton skate ou ta voiture pour te rendre sur le spot, il faut que tu consultes les prévisions surf et les conditions météos. Cela évitera les déceptions voir les accidents à l’eau ! Il existe plusieurs applications dont les plus connues : surf report ou magic sea weeed.

Avant de partir de chez toi, check une dernière fois ta ou tes boards tout particulière le noose, le tail et la fixation de tes dérives. Profite en également pour apporter de la wax dans ton sac!

Petit conseil: Si tu as prévu de faire bronzette après ta sessions surf, apporte bien la housse de ta board pour la protéger du soleil!

Si tu oublies, ton nez tout rouge et toi vous le regretterez très vite! Alors pour éviter de finir en vrai homard et accessoirement être la risée de tes potes, protège ta peau du soleil.

• Le corps

Pour les zones du corps exposées, il te faudra mettre un indice UV 50 et préférer les produits solaires à base de minéraux plutôt que chimiques. En effet, elles sont plus respectueuses de l’environnement, de l’océan et pour ton corps !

• Le visage

Pour le visage, je te conseille de mettre du stick solaire SPF50 d’origine biologique. J’utilise celui de la marque EQ love, il est composé entre autres de dioxyde de titane, cire d’abeille, huile de ricin et beurre de kartié. En plus, il existe plusieurs couleurs dont une naturellement doré que j’adore !

La clé pour réussir une session c’est la préparation physique et l’échauffement.

La préparation physique se fait tout au long de l’année quand tu n’es pas dans les vagues, elle passe par un renforcement musculaire et des trainings ciblés sur les articulations sollicitées. En ce qui me concerne, je fais du cardio tous les 2/3 jours en salle de sport, et 45min de yoga quotidien. Cette routine me permet de rester en forme pour être plus performante le jour J à l’eau !

L’échauffement quant à lui est à réaliser le jour même avant de commencer sa session. Il va permettre d’échauffer les muscles et les articulations.

La préparation physique est primordiale en surf car en plus d’améliorer vos performances à l’eau, cela vous évitera de vous blesser. Ne pas oublier également 2h après une grosse session d’étirer les muscles en profondeur avec des étirements ciblés ou un cours de Yin Yoga.

Si tu es débutant, il est important de connaître les règles de bases en surf avant de foncer tête baissée dans les vagues, cela te permettra d’éviter les accidents et frayeurs en tout genre.

La règle de priorité à connaître par cœur est le surfeur le plus à l’intérieur du déferlement est prioritaire. Tout est donc une question de positionnement sur la vague !

Ne pas partir sur une vague si un surfeur est déjà dessus !

Une fois que tu as pris ta vague afin d’éviter les collisions, évite la zone de déferlement et de take off. Ne jamais ramer tout droit, mais toujours contourner ! Cela évitera de te retrouver devant un surfeur et de le gêner si celui-ci ride une vague.

Lorsqu’un énorme set de vagues se profile à l’horizon, tu as deux choix pour passer la barre :

• Si tu as une shortboard : faire un canard

Oui le surf c’est très imagé, faire le canard veut dire pousser sur le rail de sa planche pour aller sous le l’eau et alors passer sous la vague.

• Si tu as une longboard/évolutive : faire la tortue

Cela consiste à se retourner avec la planche (le corps passant alors sous l’eau et les ailerons pointant vers le ciel) en s’agrippant aux rails.

Dans tous les cas il ne faut jamais lâcher sa planche dans la bataille au risque qu’elle se retrouve sur la tête d’un autre surfeur !

Tu es débutant ou confirmé en surf et tu souhaites partir en vacances cet été pour assouvir ta soif de vagues ? Mais voilà à cause du Covid, tu ne peux plus partir en Indonésie alors tu vas devoir jouer local cette fois-ci.

La bonne nouvelle pour toi, c’est que la France est la destination surf européenne numéro 1, nous n’avons rien à envier à l’Australie, la Californie ou encore le Sri Lanka. Nous possédons un magnifique littoral avec un éventail de breaks différents pour satisfaire tout le monde !

Cet été sera donc peut être l’occasion pour toi de découvrir ou redécouvrir l’une de nos belles régions Françaises. Voici le top 5 des destinations surf tricolores, c’est parti !

Un pur paradis de surf qui va vous en mettre pleins les mirettes ! Ce n’est pas pour rien que c’est ici que tout a commencé il y a plus de 60 ans. Grâce à son littoral déchiqueté, on n’y trouve de tout : beach, reef et point breaks ce qui ravira tous les surfeurs. En dehors de ses plages de rêves, tu pourras grimper la Rhune, savourer un gâteau basque, manger des chipirons à la plancha ou juste profiter de la douceur de vivre locale.

Je ne pouvais pas écrire cet article sans parler de ma région natale, telle une vraie locale ! Ce que j’aime par-dessus tout c’est le paysage landais qui rend nos plages si jolies et sauvages : des immenses dunes de sables fins bordées par des forêts de pins. Ici, tu trouveras principalement des beach et shore breaks, ce qui en fait une destination idéale pour les débutants!

L’eau y est légèrement plus froide que chez sa voisine Basque ou Landaise, mais cela n’affecte en rien la qualité des vagues ! Bien au contraire, les vagues y sont plus « douces » que dans les Landes, ce qui en fait un terrain idéal si tu veux débuter. La région est préservée et sauvage, notamment vers le Cap Ferret où tu pourras savourer un plat d’huîtres accompagné de vin blanc à la fin de ta session !

La région est célèbre pour son activité nautique, mais elle possède aussi une forte identité surf. Du fait de son littoral escarpé et de ses différents fonds (sable et roches), on peut surfer partout et presque tout le temps, un atout indéniable si tu veux progresser ! Tu l’auras compris, la Vendée offre une diversité de spots et de vagues importantes, il y en aura pour tous les niveaux ! Alors c’est pour quand la virée vendéennee ?

On ne la présente plus, véritable terre du surf, elle est même devenue la seconde région Française en nombre de surfeurs. Au diable les préjugés sur la climat pluvieux Betron, son littoral déchiqueté est soufflé par les vents et dispose d’un climat océanique très doux, ce qui est idéal pour la pratique du surf ! De La Torche à Perros-Guirecl, voici un petit tour où surfer dans des vagues d’excellente qualité !

Le spot de surf est l’endroit où les surfeurs peuvent pratiquer leurs disciplines. Jusque là c’est logique, mais contrairement aux idées reçues toutes les plages ne sont pas « surfables »! Les caractéristiques d’un spot de surf sont multiples : la nature et la forme du fond, son exposition à la houle, l’accessibilité et sa fréquentation.

Nous allons étudier les différents types de spots existants et leurs spécificités afin que tu comprennes leurs fonctionnements. Ainsi tu seras plus à l’aise dans l’eau!

Un spot de surf est caractérisé principalement par la nature et la caractéristique du fond ainsi que la configuration du littoral. En effet, la nature et la forme du fond va influer sur la puissance et la forme de la vague.

Il existe trois grandes catégories de spots de surf : Beach Break, Reef Break et Point Break.

Fond :  sable
Vagues : gauches et droites

La vague vient se casser sur un banc de sable, mais d’où provient-il ? Les différents courants et tempêtes viennent déplacer le sable pour créer parfois ces bancs de sable au bord de notre littoral. Tu l’auras compris, un banc de sable se déplace et peut disparaître ou changer de place du jour au lendemain. Il est conseillé aux débutants de commencer sur un spot de ce type, car en cas de chute ils tombent sur du sable ce qui fait moins mal que du corail/rocher !

OÙ EN TROUVER?
En France, tu peux trouver des beach breaks tout le long du littoral Français. Les plus connus étant sur la côte Basque (la Grande Plage de Biarritz), Landaise (la Centrale à Hossegor), Girondine (Lacanau) ou Bretonne (la Torche).

Il existe aussi une autre catégorie de spot à fond sableux qui s’appelle SHORE BREAK. Ce sont des vagues qui cassent proche du bord et donc avec peu de surface d’eau. Ces vagues sont très dangereuses, car elles sont puissantes, rapides et cassent violemment sur un fond peu profond. Alors surtout, ne t’y aventures pas si tu es un débutant, cela peut être très dangereux ! J’ai arrêté de compter depuis longtemps le nombre de boards cassées par la puissance de ce type de spot. Le shore break le plus connu en France est celui de la gravière à Hossegor dans les Landes.

Fond : coraux ou de roches
Vague : soit une gauche ou une droite

On considère que ce genre de spot est plus dangereux que le beach break, car le fond est tranchant lors des chutes. Cependant la vague y est souvent plus « consistante », c’est-à-dire qu’elle se forme de manière régulière et casse à un endroit bien précis. De ce fait, le « channel » y est plus visible et surtout respecté. Pour les novices, le channel en anglais c’est le circuit qu’emprunte un surfeur du moment où il sort de la vague pour remonter au pic/line up. Et il faut dire que c’est plus plaisant, oui j’aime l’ordre et le respect des priorités en surf !

De plus, il est possible de prendre des vagues de taille plus importante et surtout des barrels (ou tubes en Français) sur ce type de spot. Voilà pourquoi ce sont mes spots préférés !

OÙ EN TROUVER?
Pas besoin d’aller en Indonésie ou Sri Lanka pour trouver des reef breaks, nous en avons aussi de très beaux en France comme par exemple à Guetary.

Fond: soit du sable, soit des roches/coraux.
Vagues: soit une gauche ou une droite

La différence avec les autres types de spot, c’est que la vague démarre toujours du même endroit souvent indiqué par une jetée, une avancée de sable, un débris en mer (comme une épave) ou une pointe rocheuse. Cela dépend de la topographie du spot en question. Plus rare que les autres, ce type de spot est très prisé des surfeurs car la vague y est généralement longue et consistante. Le seul inconvénient c’est qu’il faut souvent ramer longtemps avant d’arriver au pic ! Be ready !

OÙ EN TROUVER?
L’un des point breaks les plus connus en France est celui de Erromardie sur la côte basque. Autrement il faudra te déplacer au Maroc (Anchor Point à Taghazout ou Cathédrale à Imsouane), ou au Portugal (Ribeira D’Ilhas ou Arrifana).

Maintenant que tu connais les différents types de spots, il faut que tu saches que chaque spot à des caractéristiques propres liées principalement à sa orientation géographique. En effet, une certaine exposition permet de capter plus au moins de houle et influe donc sur la puissance des vagues. De plus, certains spots marchent à marée basse, et d’autres à marée haute ; certains marchent avec un vent sud-ouest et d’autres nord-est. Le mieux est donc de s’informer avant sur les spécificités de ton prochain spot avant de t’y rendre ! Tu peux aussi consulter les sites de prévisions ou demander à des locaux sur place. Au choix !

Il est important de s’intéresser en amont à l’accessibilité du spot de surf de ta prochaine session. En effet certains spots sont très facile d’accès, à quelques mètres seulement du parking où tu laisseras ta voiture. Tandis que pour d’autres, tu devras marcher dans la forêt pendant de longues minutes, descendre des falaises, sauter depuis une jetée. Si tu n’es pas à l’aise avec la difficulté, il te faudra donc rebrousser chemin !

Ce dernier point a toute son importance, car on ne va pas se le cacher : on préfère tous les sessions où on est 10 à l’eau plutôt qu’une centaine ! Alors renseigne toi d’abord sur la popularité du spot avant d’aller à l’eau pour éviter les déceptions et embouteillages au pic.

Le marché ÉCO FRIENDLY est en plein expansion, et bonne nouvelle maintenant tu peux surfer avec style et sans pétrole sur le dos ! En effet, la plupart des marques investissent maintenant en R&D, conscientes de l’impact écologique des combinaisons Néoprène fabriquées à base de pétrole et innovent pour proposer des alternatives plus responsables.

Tu veux crâner cet été dans une jolie combi qui respecte la planète et te la péter au pic? Tu es au bon endroit !

Le mot éco responsable regroupe des valeurs environnementales mais aussi sociales ! La matière des combinaisons doit être écologique d’origine naturelle, et durable. Je vais vous concocter prochainement un article sur le sujet promis !

En attendant voici mon top 3 de trésors eco-friendly disponibles actuellement sur le marché.

La combinaison Bayou Palmetto 

Prix : 170 €

On ne présente plus la marque et son engagement sans équivalent pour la résolution d’enjeux environnementaux. C’est donc en toute logique que lorsque Patagonia s’est lancé en 2005 dans la fabrication de combinaisons de surf, son objectif était de créer des produits durables, performants et respectueux de l’environnement. Véritable précurseur, la marque a fait un bout de chemin depuis et propose maintenant des combinaisons haute performante sans néoprène fabriquée en caoutchouc naturel. De plus, elles ont toutes la certification Fair Trade Certified™ la marque s’engage à reverser une prime à chaque ouvrier pour promouvoir le respect des normes sociales.

Cet été, la marque proprose cette combinaison 2mm shorty aux manches longues noires avec un imprimé floral bleu/blanc. À zipper devant, on adore tout simplement!

La combinaison DIANA 0.5

Prix : 119,99 €

Enfin une combinaison éco-responsable design et tendance taille haute. Elle est fabriquée à partir d’Eicoprène : une mousse synthétique à base de calcaire et de pneus recyclés. Ici encore le collage entre la mousse et le tissu est étudié et se fait par une colle sans solvant Aqua-A™ .

Gros coup de coeur pour cette combi, la bande taille haute vient souligner votre taille de guêpe. Elle existe en deux coloris, le zip est à l’arrière, 1mm d’épaisseur, c’est pour moi la plus jolie de toute. Comme quoi, on peut être éco responsable et tendance au line up!

La combinaison ONYX WAVE

Prix : 90 €

Une grande première pour la marque qui prend elle aussi un virage au vert. La combi est sobre, intemporelle et 100% éco conçue!

Cette combinaison est fabriquée à partir de bouteilles en plastique recyclées, d’élasthanne et de pneus de voiture recyclés. Les colles hydrauliques utilisées sont elles aussi responsables et réduisent ainsi le taux de produits chimiques dans nos mers et nos océans. Le processus de teinture des fibres quant à lui, réduit de 90 % la consommation d’eau utilisée par rapport aux méthodes de teinture traditionnelles !

Pour sa première combi éco-conçue, la marque Australienne a su allier élégance et sobriété. Le tout à un prix correct, à essayer de toute urgence!

La crinière blonde délavée des surfeurs et surfeuses ont toujours vendu du rêve dans l’imaginaire collectif, et elle demande beaucoup d’entretien ! Ça a été vraiment LE problème de ma vie durant ces 20 dernières années : entre l’eau salée, les vagues, le sable, le vent et les UV mes cheveux tout fins s’abîment très vite. Alors afin d’éviter de vous retrouver avec de la paille sur la tête, ou alors pire une tignasse remplie de nœuds, voilà la liste de mes conseils.

Il est très important de préparer ses cheveux à l’exposition au soleil et aux multiples agressions extérieures (sel, sable, vent) en appliquant avant de partir à l’eau un sérum protecteur. L’idéal est d’appliquer ce sérum généreusement sur les pointes et les longueurs au moins 1h avant de commencer ta session surf pour laisser le temps à ce dernier d’agir et de protéger ta fibre capillaire.

Mon chouchou est le sérum Keep Glowing réparateur et protecteur Bio de la marque basque EQ Love. Un savant mélange d’Aloe Vera (pour ces vertus hydratantes) et d’huile de Mongongo (pour ces propriétés régénérantes et restructurantes), le tout infusé à l’huile de Monoï qui vient nourrir tes cheveux en profondeur en laissant derrière elle un doux parfum exotique de vacances. Et en plus le tout certifié bio, que demander de plus ?

Une fois que tu sors de l’eau, le sourire jusqu’aux oreilles avec ta planche sous le bras, dirige-toi illico presto vers la douche de plage la plus proche !

Mon conseil number 1 est de TOUJOURS, oh grand Dieu, TOUJOURS se rincer les cheveux à l’eau claire afin d’enlever la première couche de sable et de sel. N’hésite pas à t’imaginer dans une pub pour Tahiti douche afin de masser tes cheveux en profondeur pour être encore plus efficace ! Et en plus, tu attireras peut-être les regards des beaux surfeurs, qui sait ?

Pour être plus sérieuse, c’est vraiment le geste le plus important à avoir si tu as les cheveux fins comme les miens. Pas de douches de plage dispos ? Pas de soucis, une gourde/bouteille d’eau fera l’affaire !

Car crois-moi, on aime tous trainer sur plage avec les copains après une session autour de quelques bières. Mais sache qu’une fois que tes cheveux ont séché, s’ils n’ont pas été rincé au préalablement, ils te le feront payer plus tard.

Te voilà maintenant chez toi sous la douche prête à dorloter tes cheveux jusqu’à la prochaine session. Si tu es une mordue comme moi à faire 2 à 3 sessions par jour, il est primordial de te doter d’un shampoing doux à usage fréquent afin d’éviter d’agresser et de graisser tes cheveux. Pour cela, il faut que tu privilégies les shampoings les plus naturels possibles !

Là encore mon chouchou est le shampoing douche 2 en 1 de la marque EQ Love. Promis, ce n’est pas un placement produit ou alors le fait que j’ai du sang basque dans les veines mais j’adore vraiment leurs produits ! Un savant mélange de gel d’Aloe Vera (pour adoucir), d’huile vierge de Baobab (pour apaiser) de protéines d’amande (pour démêler) et de Monoï naturel.

Il m’arrive parfois de l’oublier en surf trip, mais j’essaye toujours de trouver le shampoing qui s’en rapproche le plus : naturel, respectueux de l’environnement et à usage fréquent. Par exemple, lors de mon dernier surf trip en Australie, j’ai acheté Tea Tree Everyday Shampoo de la marque Thursday Plantation qui a fait parfaitement l’affaire tout au long su séjour !

Une fois le shampoing rincé, j’applique toujours quelques minutes un baume démêlant sur les longueurs et les pointes afin de faciliter le brossage par la suite et également les fortifier pour éviter le cassage. Encore une fois, je privilégie les produits naturels, respectueux de l’environnement et bios. J’aime bien changer régulièrement de marques pour varier les plaisirs : Lessis more, Lavera, Logona, Coslys, ou Botanicals. Je craque aussi souvent pour le baume démêlant Gingembre & Coriandre de chez BotanicalsFresh Care bien qu’il ne soit pas bio du tout!

Si je n’ai plus de démêlant j’applique un lait sans rinçage sur cheveux sec ou humide de la marque Davines qui s’appelle Oil All in One Milk. Il est enrichi à l’huile de roucou et vient donner de la brillance en plus d’un fort pouvoir démêlant. Malheureusement, il n’est pas bio lui non plus mais fait parfaitement l’affaire pour les dépannages !

Toujours privilégier un séchage naturel à l’air ambiant plutôt qu’une source de chaleur thermique comme le sèche-cheveux. Mais je vous accorde qu’en hiver, c’est un peu difficile de s’en passer surtout si vous êtes une grande frileuse comme moi.

J’ai les cheveux très fins et de ce fait fragiles, mon secret est de me brosser uniquement les cheveux avec des brosses à poils de sanglier. C’est 100% naturel, sans plastique comme la plupart des autres brosses. Les poils sont si souples et doux qu’ils vont venir démêler tes cheveux sans douleur comme par magie ! Ainsi on évite le cassage, les irritations et les nœuds.

Vu que j’applique des baumes démêlants à chaque fois, je n’éprouve pas le besoin d’appliquer en plus un masque par semaine. Vu que j’ai les cheveux très fins, cela viendrait alourdir mes cheveux et irriter la fibre capillaire. Encore une fois, tout dépend de la nature de tes cheveux !

Petit bémol sur les masques à l’huile de coco, je ne recommande pas pour les cheveux fins car ils ont tendance à casser le cuir chevelu. Je sais qu’il y a un pur engouement marketing pour cette huile, mais bien faire attention elle ne convient pas à tout le monde. Privilégier dans ce cas les huiles universellement bénéfiques pour les cheveux comme l’huile de ricin ou argan.

Si tu es débutant, un petit wannabe surfeur, qui rêve de prendre des vagues les cheveux au vent, tu es au bon endroit. Avant de pouvoir crâner au line up et te prendre pour Igor d’Hossegor, il va falloir connaître les bases de ce sport. Le but ici est que tu te familiarises avec le langage, les techniques et l’équipements du bon surfeur qui se respecte.

Un surfeur n’est rien sans son matériel, dans ta checklist tu dois avoir une board, une combi, un leash, de la wax !

Alors là nous avons deux camps qui s’affrontent : commencer avec une planche en mousse ou en résine. Oui, oui j’ai eu un débat sur le sujet sur l’île de Siargao aux Philippines où aucune école de surf n’avait de planches en mousse à disposition. Je ne te raconte pas le bazar dans l’eau et les accidents que j’ai pu voir ! Et ça, je ne te souhaite pas !

Tu verras avec l’expérience, qu’il n’y a rien de plus dangereux qu’un débutant sur une planche en résine qui ne connait pas les bases, ni les règles de priorités et qui se positionne « au line-up » avec tout le monde. Si tu vois un de ses spécimens, FUIS !

Tu l’auras bien compris, je préconise les planches en mousse dites « soft boards ». Elles sont plus légères, et donc idéales pour apprendre les bases du surf en limitant les risques d’accident pour soi-même et surtout pour les autres. Comme on dit, SAFETY FIRST !

On adore aussi la soft board car elle est stable, solide et maniable à souhait ! Son poids plume lui donne également un atout de taille : la vitesse. Elle est facile à la rame et tu verras que ça fait la différence au bout de deux heures de session, tes bras ne ressortiront pas en mode spaghettis. En plus, on peut vraiment bien s’amuser, elles sont même revenues à la mode chez les surfeurs confirmés !

Les planches en mousses sont généralement entre 7 et 9 pieds. Comme tu peux le voir, nous ne parlons pas de cm ici mais de pieds/pouces, c’est un autre système métrique car tout simplement le surf est né à Hawaii. Et depuis tout ce temps, nous avons gardé le système métrique Américain. C’était la minute Histoire de la journée, revenons à nos moutons.

La taille de la planche sera proportionnelle à ton poids. En effet, plus tu es léger, et plus ta planche sera petite. Et inversement, plus tu es lourd, plus le volume de ta planche doit être important.

Ne t’inquiète pas, tu peux demander conseil directement au surf shop technique du coin !

Un sujet bien vaste, qui me passionne. Car au-delà du côté esthétique, il y a différents critères qui interviennent dans le choix d’une combinaison, à savoir : l’épaisseur, le fit, la matière, le système de fermeture, la technologie et le budget.

Nous parlons de mm, les combinaisons vont généralement de 1 à 5mm: 1mm, 2mm, 3/2mm, 4/3 mm et 5/4mm.

L’épaisseur de ta combinaison dépendra bien évidemment de la température de l’eau, de l’air et de la force du vent. Le but ici est de ne pas te transformer en glaçon au bout de 15min dans l’eau à attendre la vague, et inversement de ne pas donner naissance à un sauna sous ta combi!

Pour trouver la combinaison parfaite afin d’être à l’aise comme un poisson dans l’eau, il faut qu’elle soit adaptée à ta taille, ton poids et ta morphologie. D’où l’importance du « fit », on veut à tout prix éviter que l’eau s’incruste ou que tu sois serré(e) comme un filet mignon! Il faut que la combinaison soit ajustée à ton corps, épouse ses formes, pour ton confort et aussi garder la chaleur. Voilà pourquoi je conseille vivement de toujours essayer une combinaison.

La plupart des combinaisons sont issues du néoprène, mais la tendance est maintenant au matière naturelles et recyclables. Un sujet d’ailleurs qui me passionne et qui nécessitera l’écriture d’un futur article.

Il en existe deux types : frontal (front zip) ou dorsal (back zip). Il faut noter qu’il te sera plus facile d’enfiler une back zip, mais il y a moins de risque d’entrées d’eau sur une front zip. A toi de choisir ton camp!

Petit conseil : Personnellement, j’ai les deux systèmes pour varier les plaisirs. Mes combinaisons moins épaisses (de 1 à 2mm) sont avec un back zip, et tout le reste c’est du front zip. Oui, je suis très frileuse !

La plupart des plus grandes marques de surf ont investi dans leurs propres technologies haut de gamme pour gagner en chaleur et fléxibilité. Par exempleGbomb pour Rip curl,FurnaceSynergy pour Billabong,Performance chez Roxy/Quicksilver, ou Psycho one chez O’Neill.

Un critère de taille qui est parfois décisif lors du choix final. Prépare toi, il va falloir casser ta tirelire ! Compte 200 Euros à 300 Euros pour une combinaison milieu de gamme d’épaisseur 3/2mm.

Petit conseil : Pour l’achat de ta première combinaison, demande conseil à ton surf shop technique du coin car c’est un véritable investissement et un outil primordial à la bonne pratique du surf. Confort avant tout !

Je suis sûre que tu as déjà entendu cette phrase mythique dans une discussion entre surfeurs « tu as de la wax ? » en te demandant bien ce que ça voulait dire.
Le mot wax veut tout simplement dire cire en Français, c’est aussi simple que ça. Désolé si j’ai cassé un mythe et c’est ce que nous mettons sur notre planche de surf pour augmenter l’adhérence du pied et permettre un meilleur équilibre sur l’eau. En effet, on va éviter que tes pieds partent en vrille au premier take off !

A noter, il existe plusieurs types de wax suivant la température de l’eau dans laquelle tu évolues.

La plupart des wax classiques sont à base de paraffine, issue de la pétrochimie. Et là, tu vas me dire que c’est pas très green tout ça !
Heureusement, il existe maintenant des alternatives plus éco-responsable. En effet, des wax naturelles voient le jour comme par exemple en cire d’abeille, ou en cire végétale (soja, palmier, carnauba). J’en parlerai prochainement dans un article, promis !

Petit conseil : Fais attention de ne pas mélanger ta wax avec du sable quand tu la frottes sur ta planche, en effet ta board n’a pas demandé un gommage ! Sinon elle va devenir abrasive et cela risque d’être inconfortable et créer des frottements au niveau du ventre. Et ça, on n’aime pas !

Encore un terme incontournable de surf. Le leash est le cordon qui relie la planche à ton corps, très utile en cas de chute pour éviter de perdre ta planche. Le leash s’attache toujourssur la cheville placée à l’arrière de la planche :
Si tu es goofy, le pied gauche
Si tu es régular, le pied droit

Il existe plusieurs longueurs de leash( de 6’ à 9’) , là encore, nous parlons de feet/pieds. La longueur est proportionnelle à la taille de la planche. Un leash de long board sera plus grand qu’un leash de short board. Jusque-là tout va bien, c’est logique !

• Si tu as une planche entre 5’ et 6’, tu prendras un leash de 6’.
• Si tu as une planche entre 6’ et 7’, tu prendras un leash de 7’.
• Si tu as une planche entre 7’ et 8’, tu prendras un leash de 8’.
• Si tu as une planche supérieure à 9’, tu prendras un leash de 9’.

Tu as du certainement voir des photos magnifiques de longboardeurs qui ont le lash attaché au mollet.Et là, tu t’es peut être dit « wahou la classe, il ont réinventé la façon de porter le leash ». Non, non tu fais fausse route ! Tous les leash supérieurs à 9’ pieds proposent cet autre système de fixation car c’est plus pratique pour se déplacer et danser sur sa planche sans s’emmêler les pieds.

Quand tu seras le Dieu des vagues et que tu feras de l’ombre à Kelly Slater, tu verras que tu peux choisir ton leash en fonction du type de vague ou du spot.
Par exemple, sur les spots de reef,  il est conseillé d’opter pour un leash plus court pour ne pas rester accrocher et bloquer à un rocher/récif de corail.

Autre exemple, dans un spot de grosse vague il faudra utiliser un leash plus long pour ne pas être percuté par le retour de sa proche planche dans les rouleaux, tel un boomerang ça serait fort dommage !

Petit conseil : Quand tu es à l’eau, ne jamais tenir son leash à la main, avec la traction de la planche, la force des vague et la tension du leash tu peux te faire très mal au doigts, voir en perdre quelques-uns au passage ! Et ça on ne veut pas non nonnon !

Je préconise vivement l’apprentissage du surf via des cours collectifs voir privés sur tu as le budget.Ou alors, si tu as la chance d’avoir dans ton entourage un super pote surfeur, demande-lui de jouer le professeur quelques heures. Mais rien ne vaut les conseils et l’expérience des instructeurs expérimentés. Après tout, c’est leur métier.

Une dizaine d’heures te suffiront pour te familiariser avec l’équipement et l’environnement !

Car si tu apprends seul, tu risques de prendre de mauvaises habitudes dont il sera difficile de te défaire plus tard et ta phase d’apprentissage sera beaucoup plus longue.

Il est très important de connaître d’abord les bases avant d’évoluer seul dans les vagues.
En voici, la liste principale :
❥Savoir faire untake off : c’est-à-dire se lever sur la planche correctement sans poser le genou sur la planche !
❥Savoir se diriger sur la vague
❥Connaître les règles de priorités et de savoir vivre
❥Connaître les techniques de sécurité en cas de chute : toujours se protéger la tête !
❥Bien choisir ses vagues et savoir quand faire les manœuvres

Désolé mon petit chat, mais ce n’est pas en regardant un tuto sur Youtube ou en regardant le film Point Break que tu vas apprendre à surfer. Il faut te mouiller, aller à l’eau régulièrement, et surtout être encadré(e) par des professionnels qui te feront progresser rapidement !Et c’est promis, une fois les bases acquises, tu pourras t’aventurer au line up avec Igor d’Hossegor et Brice de Nice ! Mais chaque chose en son temps.

Étant que bébé surfeur, ton meilleur ami sera la mousse. Tu sais, c’est quand la vague se casse et forme de la mousse blanche épaisse dite écume.
La mousse est idéale pour apprendre à faire correctement son take-off et commencer à se diriger, à droite et à gauche.

Tu l’auras compris, tout dépend de l’endroit où tu décides de faire ton apprentissage. Si c’est en France/Portugal, privilégie de Mai à Septembre lorsque les vagues sont toutes douces. En plus les températures sont plus clémentes, et tu pourras même (si tu n’es pas frileux) porter juste un maillot de bain et un lycra ! Car on ne va pas se le cacher, le style en surf c’est important.

Petit conseil : Suivant la destination que tu choisis pour faire ton apprentissage, renseigne-toi sur la saisonnalité. Ne jamais commencer le surf quand les conditions sont trop grandes, avec de grosses houles, cela risquerait de te dégouter ou pire te faire peur !

Voilà maintenant tu sais tout ou presque sur les bases du surf, j’aurais pu continuer pendant des heures sur d’autres sujets diverses et variés (choix de spot, lexique de l’apprenti surfeur, choix des vagues…) mais il faut que je garde des sujets sous le coude !J’espère t’avoir donné envie de te mettre à l’eau et en attendant le prochain article, bonne glisse !